Transparence: les derniers coups de rabot du Conseil constitutionnel

En validant mercredi les grands principes de la loi sur la transparence, le Conseil constitutionnel s'épargne un procès en ringardisme et sauve la mise de l'exécutif. Mais il censure des dispositions importantes et amoindrit encore la portée de cette loi écrite après les aveux de Jérôme Cahuzac.

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La décision du Conseil constitutionnel était attendue jeudi. Elle est en fait tombée mercredi matin : le président du Conseil, Jean-Louis Debré, a discrètement avancé le calendrier. Même le gouvernement n'était pas au courant. « Nous avons pris tout le monde de vitesse afin que le Conseil ne soit pas l'objet de pressions, avec des caméras en bas attendant notre décision », explique Debré, interrogé par Mediapart.

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