Laurent Berger est sorti de Matignon comme il y était rentré. « On a essayé d’argumenter », a expliqué le secrétaire général de la CFDT, vendredi 10 janvier, réaffirmant son opposition à l’« âge pivot » que le gouvernement a inscrit dans sa réforme des retraites. Une « mesure aveugle et injuste » qui n’a « pas lieu d’être dans le projet de loi », a répété le responsable syndical, avant de préciser, comme il l’avait déjà fait le 19 décembre, avoir « senti une volonté d’ouverture dans la parole » du premier ministre.
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