Primaire à gauche: l’envie de «débloquer» le système ne peut suffire

Une quarantaine d’intellectuels de gauche au sens large appellent à la tenue d’une primaire pour désigner un candidat commun à la prochaine présidentielle. L’initiative est louable, mais elle ne pourra fonctionner sans base politique claire.

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Primaires à gauche, le retour de la revanche ? Ce lundi, Libération puis Mediapart publient un appel («Manifeste pour la primaire des gauches et des écologistes») signé par une quarantaine d’intellectuels et d’artistes, aussi bien venus de la sphère social-démocrate et d’anciens soutiens déçus de François Hollande en 2012 (les universitaires François Dubet et Pierre Rosanvallon, l'acteur Philippe Torreton, l'avocat William Bourdon, le cinéaste Romain Goupil…) que d’une gauche plus ou moins critique (les économistes Thomas Piketty et Camille Peugny, l'actrice Ariane Ascaride, le journaliste Guillaume Duval, le président du Cran Louis-Georges Tin, l'altermondialiste Susan George, l'activiste écologiste Eros Sana).

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