C’est un « compromis » aux airs de vaste plaisanterie. Comme il l’avait annoncé la veille, Édouard Philippe a écrit aux partenaires sociaux, samedi 11 janvier, jour de nouvelles manifestations, pour leur faire part de ses propositions de sortie de crise (voir son courrier sous l’onglet « Prolonger »). Ce faisant, le premier ministre s’est surtout adressé à la CFDT, seul syndicat d’envergure à se dire, depuis le début, « très clairement favorable » au principe du régime universel de retraite voulu pas Emmanuel Macron ; et, dans une moindre mesure, à l’Unsa.
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