« La dédiabolisation ça ne sert à rien. C’est de la langue de bois, du conformisme : on ne va quand même pas faire la danse du ventre devant nos ennemis ! » lâche une militante d’une soixantaine d’années qui se présente comme une ex-collaboratrice de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national entre 1981 et 1988, sous la présidence de Jean-Marie Le Pen.
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