Après le PS, au tour de LR : le vampirisme de Macron achève bien les vieux partis
Le séisme électoral de 2017 n’était pas une aberration. Le premier tour de l’élection présidentielle a confirmé l’entrée dans un nouvel ordre électoral, structuré au niveau national par le macronisme, une extrême droite à des niveaux inédits, et une gauche dominée par sa composante « rouge-verte ».
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IlIl y a cinq ans, l’élection présidentielle avait représenté un véritable séisme dans l’histoire politique française. L’enjeu était de savoir s’il s’agissait d’une fluctuation sans lendemain, ou si les rapports de force établis s’installeraient dans le temps, clôturant une décennie chaotique, marquée notamment par le poids inédit des enjeux d’immigration et d’identité nationale, et l’autonomisation d’un électorat de centre-droit.