Libertés publiques Reportage

Au Conseil d’État, le ministère de l’intérieur peine à justifier la dissolution d’un groupe antifasciste

Accusé par le gouvernement d’inciter à la violence, le Groupe antifasciste Lyon et environs conteste sa dissolution, prononcée le 31 mars. Lors de l’audience en référé qui s’est tenue mercredi, il a dénoncé le flou et les exagérations du ministère de l’intérieur. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Depuis le 31 mars, le Groupe antifasciste Lyon et environs (Gale) collectionne les innovations à ses dépens. Ce jour-là, il est devenu le premier groupe antifasciste dissous sur décision gouvernementale en France. C’est aussi la première organisation d’extrême gauche à subir un tel traitement depuis la dissolution d’Action directe en 1982 (après une campagne d’attentats et de braquages qui avaient fait plusieurs morts). Il étrenne, enfin, un nouveau motif de dissolution créé par la loi séparatisme, visant les groupes « qui provoquent à des agissements violents à l’encontre des personnes ou des biens »

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA