Contre les militants écolos, l’offensive judiciaire monte d’un cran
Une militante et un photographe ont été mis en examen mardi 11 juillet pour « association de malfaiteurs », « dégradations en bande organisée », et « destruction d’engins de chantier » dans l’enquête sur l’action contre le site du cimentier Lafarge à Bouc-Bel-Air.
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LaLa criminalisation de la mouvance écologiste se poursuit. Et elle a même franchi un cap, mardi 11 juillet. La juge d’instruction d’Aix-en-Provence Laure Delsupexhe a mis en examen deux premières personnes, une militante écologiste et un photographe, pour « association de malfaiteurs »,« dégradations en bande organisée », et « destruction d’engins de chantier » dans l’enquête sur l’intrusion dans la cimenterie Lafarge à Bouc-Bel-Air, dans les Bouches-du-Rhône, en décembre dernier.