À en croire Yacine*, il n’aura sûrement pas son semestre, lui qui se rend à l'université depuis le 5 janvier pour passer ses partiels en présentiel. « Pendant des mois, on nous a interdit de retourner à la fac malgré l’impact très négatif que cela a eu sur notre scolarité et notre vie, s'agace cet étudiant en droit. Nous n’avons pas pu accéder à nos bibliothèques, nos salles de classe, on nous a même interdit les travaux dirigés à trente élèves qu’on aurait pu organiser dans les grands amphithéâtres vides. Puis d’un coup, pour les partiels, toutes les précautions s’envolent. Il faut absolument qu’on revienne à l’université, même collés les uns aux autres. »
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