Chlordécone : un empoisonnement d’État

Chlordécone : une porte s’ouvre pour juger un crime d’empoisonnement

La cour d’appel de Paris a accepté mercredi 13 novembre la question prioritaire de constitutionnalité posée par l’un des avocats des parties civiles dans l’affaire du chlordécone. En jeu : la possibilité de revenir sur le non-lieu rendu dans cette contamination des Antilles à grande échelle.

Amélie Poinssot

C’est une « bonne nouvelle », mais ce n’est qu’« une étape ». À la sortie de la chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris, mercredi 13 novembre, les avocats des parties civiles dans le procès du chlordécone affichent une certaine satisfaction. L’une des deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) déposées le 22 octobre dernier dans cette affaire de contamination massive de la Martinique et de la Guadeloupe vient d’être acceptée.

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