L’aveu est fort. Il a été fait par plusieurs de nos intervenants, lors de notre récente émission sur Parcoursup et la réforme de l'université (voir ci-dessous). Il est également repris par Laure Échalier, vice-présidente déléguée de l’université Paul-Valéry, à Montpellier, dans Libération : « Nous nous trouvons dans une situation d'insécurité juridique : la nouvelle plateforme Parcoursup nous oblige à mettre en place une réforme qui n’a, pour l’instant, pas d’existence légale. Dans les faits, on se retrouve forcé à appliquer un texte à cause d’un outil informatique. » Et dans les assemblées générales ou les manifestations contre cette réforme, l’argumentaire est repris en boucle.
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