Gauche(s)

Chez Place publique, la place de la démocratie est privatisée

Alors que le parti de Raphaël Glucksmann tient son congrès à Paris ce week-end, les critiques autour de sa gouvernance se multiplient. Coupure de canaux de communication, « verrouillage » des statuts, départs en série… En interne, certains dénoncent des « coups de force ». « Fantasme », rétorque la direction.

Sofiane Orus Boudjema

Réuni en congrès les 15 et 16 mars à Paris, le parti Place publique, cofondé par Raphaël Glucksmann, s’apprête à appliquer ses nouveaux statuts. Mais pour un certain nombre de militant·es, l’événement a déjà un goût amer. Ils et elles reprochent à la direction du mouvement une gouvernance verticale et un verrouillage croissant des instances, cachés derrière des discours prônant une démocratie basée sur le compromis et la coconstruction. 

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