Alternatives aux néonicotinoïdes: en bio, la betterave à sucre ne se porte pas si mal
Dans l’Eure-et-Loir, Romain Lhopiteau, qui produit 15 hectares de betteraves sucrières bio, est à peine touché par la jaunisse. Preuve que face à la possible réintroduction des néonicotinoïdes dans cette culture, annoncée par le gouvernement au cœur de l’été, les alternatives existent.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LeLe vaste champ est comblé de bouquets de grandes feuilles vertes. Seules quelques feuilles rabougries, jaunies, apparaissent çà et là, au ras du sol. D’ici un mois environ commencera la récolte : les betteraves sucrières enfouies sous terre seront arrachées mécaniquement, sur les 15 hectares cultivés par Romain Lhopiteau. En attendant, l’agriculteur en déracine une. Plus grosse qu’un melon.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.