Depuis son entrée en campagne en 2014, Alain Juppé peut compter sur le soutien d’une poignée de fidèles qui s’activent dans les coulisses pour assurer sa victoire. Chiraquiens historiques, élus de la nouvelle génération, hauts fonctionnaires… Ils vouent une admiration incommensurable à l’éternel numéro 2, presque aussi grande que la détestation qu’ils nourrissent envers Nicolas Sarkozy.
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Ils sont discrets. Un peu trop peut-être, raillent leurs détracteurs. Peu présents sur les plateaux de télévision, ils réagissent rarement à chaud, évitent les “petites phrases” et utilisent, pour la plupart, les réseaux sociaux avec parcimonie. Le grand public les identifie mal, et pourtant ils jouent un rôle central dans la campagne que mène Alain Juppé depuis deux ans. Collaborateurs, élus locaux, parlementaires, amis de toujours, soutiens plus récents… Ils constituent la garde rapprochée du maire de Bordeaux, celle qui s’active dans les coulisses pour assurer une double victoire à leur champion. D’abord fin novembre, à la primaire de la droite et du centre. Puis au printemps 2017.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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