Le Sénat veut tailler en pièces la loi protégeant les lanceurs d’alerte

De nombreux amendements soumis à la commission des lois remettent en cause les dispositions progressistes de la loi tout juste votée par l’Assemblée, mais aussi les avancées les plus notables de la loi Sapin 2 votée en 2016.

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Avec le Sénat, il faut souvent s’attendre au pire. C’est une maison qui n’aime guère la transparence et qui n’a jamais goûté les avancées démocratiques. Les premiers amendements qui ont été déposés au texte protégeant les lanceurs d’alerte, votée le 17 novembre, à l’Assemblée nationale, en sont une illustration. La rapporteure du texte, Catherine Di Folco, sénatrice Les Républicains (LR) du Rhône et vice-présidente de la commission des lois, en a déposé une rafale d’une grande gravité.

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