Dans les facs vidées par le Covid-19 et qui se sentent abandonnées par l’État, l’attribution d’un marché public, fin décembre, a fait l’effet d’une petite bombe chez les enseignants en langue. L’objet de ce marché estimé à plus de 8 millions d’euros par an : l’organisation de tests et certifications en anglais pour des centaines de milliers d’étudiants en licence, BTS ou DUT.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous