Pour ceux qui en doutaient encore, l’affaire Karachi est bien l’histoire d’un « casse » de 160 millions d’euros au détriment de l’État français. La justice vient d’en apporter la confirmation en infligeant des lourdes peines à plusieurs membres de ce qui fut le clan d’Édouard Balladur, premier ministre de 1993 à 1995, qui a, selon le tribunal, financé sa campagne présidentielle de 1995 en faisant payer des commissions occultes sur des marchés d’armement à deux sociétés d’État.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous