Violences sexistes et sexuelles

À l’Assemblée, le mea culpa peu convaincant des hommes de la Cinémathèque

Un mois après la controverse déclenchée par la programmation du film « Le Dernier Tango à Paris », les responsables de l’institution culturelle ont livré un maigre mea culpa devant la commission d’enquête sur les violences dans le cinéma.

Sarah Brethes

Il y a d’abord eu les regrets, et la reconnaissance d’une erreur : celle d’avoir programmé, sans aucune contextualisation ni médiation, Le Dernier Tango à Paris, le 15 décembre, avant d’y renoncer « pour raisons de sécurité ». Dans ce film de 1972, la superstar Marlon Brando, alors âgé de 48 ans, avait simulé une scène de viol sur la jeune Maria Schneider, 19 ans, à la demande du réalisateur italien Bernardo Bertolucci, sans en avertir l’actrice.

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