« Il n'y a pas de faille » : les ratés de la lutte antiterroriste Enquête

Attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray : la police des polices identifie les fautes mais exonère les fautifs

Appelés à témoigner au procès de l’assassinat du père Hamel, qui a démarré lundi, les agents du service de renseignement de la préfecture de police de Paris se sont fait porter pâles. Mediapart révèle le contenu de l’enquête de l’IGPN consacrée à la dissimulation de leur raté dans le suivi de l’un des terroristes.

Matthieu Suc

Sur un planning assez dense de 17 jours, la cour d’assises spécialement composée leur avait dédié une journée complète. Le mardi 1er mars prochain, cinq agents de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) de Paris étaient attendus à la barre des témoins pour raconter ce qu’ils avaient fait (et pas fait) dans les jours qui ont précédé et suivi l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray, le 26 juillet 2016, qui avait coûté la vie au père Jacques Hamel.

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