C’est un formidable camouflet pour Emmanuel Macron : la cour administrative d’appel de Paris a rendu mardi 16 avril un arrêt qui annule la privatisation de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac (SATB), qu’il avait voulue en 2014, quand il était ministre de l’économie, et qui s’est enfoncée par la suite, année après année, dans une cascade de scandales à répétition.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous