Corruption

Karachi : les silences et blocages de la gauche

À la suite d'une vraie-fausse déclassification de documents “confidentiel défense” par le ministère de l'intérieur, des parties civiles ont écrit à Manuel Valls pour s'insurger. L'audition de l'ancien ministre de la défense socialiste, Alain Richard, qui reconnaît dans un documentaire avoir étouffé judiciairement les soupçons de corruption, est réclamée.

Fabrice Arfi

La gauche n’a pas tenu parole. Plusieurs parties civiles de l’affaire Karachi ont écrit, le 4 octobre, à Manuel Valls pour manifester leur « incompréhension » suite à la non-déclassification de plusieurs documents essentiels du ministère de l’intérieur. Elles fustigent, sous la plume de leur avocate, Me Marie Dosé, « le peu de considération dont font preuve les autorités françaises pour aider à la manifestation de la vérité dans ce dossier ».

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