L’angle de traitement n’avait pas encore été exploré. La mesure, qui prévoit une hausse substantielle des frais d’inscription pour les étudiants étrangers extracommunautaires dès la rentrée prochaine, a été analysée sous deux prismes : l’économie et le racisme. Or les étudiants du cours d’anthropologie des sexualités du master études de genre de Paris VIII-Vincennes-Saint-Denis, au sein du projet Genre et sexualité en migration (LEGS, UPL), ont mené entre février et mai une enquête collective nommée MalvenuEs en France – le plan du gouvernement s’appelant pour sa part Bienvenue en France – pour explorer les effets de la mesure sur les étudiants étrangers en termes de genre et de sexualité.
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