Les étudiants infirmiers dénoncent leurs conditions de travail
Les étudiants infirmiers, en stage en pleine épidémie, sont affectés dans différents services, parfois en unité Covid. Ils sont indemnisés au maximun 50 euros par semaine. Une prime leur a été promise. Ils travaillent dans des conditions stressantes, parfois dangereuses, et les dénoncent.
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Léa* s’est résignée. Cette étudiante de 20 ans en deuxième année à l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI) se dit que si elle doit tomber malade, elle le sera. Et pour cause, en stage en psychiatrie, la jeune femme n’a pas le droit à un masque. Pour cela, il aurait fallu qu’elle soit fragile ou qu’elle vive avec une personne à risque. Alors, elle fait avec. Elle se « ruine » les mains à force de les désinfecter à l’eau et au savon. Elle a même développé quelques gerçures « avec du sang », du fait de ces lavages répétés. Elle essaie aussi de refouler ses angoisses pour ne pas être entravée dans sa pratique et ne pas être stressée à la moindre toux, raconte-t-elle.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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