Les journalistes face à l’extrême droite : les déplorables effets du laisser-faire macroniste
Les attaques subies par des journalistes, dont l’une des nôtres, de la part de sympathisants d’extrême droite sont intolérables. Le chef de l’État, tout à sa préoccupation d’être réélu, doit prendre la mesure du danger qui nous guette à quelques mois de la présidentielle.
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NousNous traversons un moment de stupeur démocratique : des journalistes sont harcelé·e·s, intimidé·e·s, menacé·e·s de viol ou de mort dans l’exercice de leurs fonctions par des sympathisants d’extrême droite. Des élu·e·s, des militants politiques, des syndicalistes, des libraires et des manifestant·e·s subissent le même sort, jusqu’à l’agression physique. Sans que l’exécutif, à un moment pourtant crucial de notre vie démocratique, semble prendre la mesure du danger, tout occupé qu’il est à soupeser quel adversaire lui permettrait de conserver le pouvoir à l’issue du second tour de l’élection présidentielle.