Au second tour, les syndicats de police revendiquent leur « neutralité » politique
Contrairement à 2017, aucun syndicat de policiers n’appelle à battre Marine Le Pen dans les urnes. Dans son programme, la candidate d’extrême droite reprend à son compte les exigences d’une profession qui lui est réputée favorable.
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PasPas de consigne de vote, pas d’appel au « barrage républicain ». Parmi les quatre syndicats représentatifs des gardien·nes de la paix et gradé·es (Unité SGP Police, Alliance Police nationale, l’Unsa Police et Alternative Police CFDT), aucun ne souhaite prendre parti entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Ils tiennent à leur « neutralité » électorale, habituelle pour la plupart de ces organisations, nouvelle pour l’une d’entre elles.