Espionnage, corruption, financements louches : comment « on voit la main étrangère venir s’immiscer » en France
Les 46 auditions menées pendant cinq mois par la commission d’enquête parlementaire relative aux ingérences étrangères brossent un tableau inédit de l’espionnage et de la corruption en France. Où l’on apprend par exemple que des élus de la République sont au contact d’espions russes.
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JeudiJeudi 16 février, Stéphane Bouillon, secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, raconte à cinq députés les dessous de « l’affaire Sandworm » : des attaques informatiques organisées en Russie ayant visé des administrations françaises. En deux phrases, nous voilà plongés dans un épisode très concret de la guerre froide contemporaine, avec pour personnage principal Nikolaï Patrouchev, le tout-puissant secrétaire général du Conseil de sécurité russe.