Et si finalement le départ de son adjoint était une bonne nouvelle pour Anne Hidalgo ? À première vue, la démission médiatique de Bruno Julliard, assortie de propos violents à l'endroit de la maire de Paris, est une catastrophe pour la socialiste, déjà fragilisée par l'échec du nouveau Vélib', la saleté des rues de la capitale ou les divisions de ses anciens amis. Mais à gauche, certains espèrent que la rupture avec l'ancien président de l'Unef permettra la clarification politique qu'ils attendent.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous