Les écoles rurales se sentent sacrifiées par l’Education nationale
Les ouvertures et fermetures de classes pour la rentrée prochaine ont été dévoilées. Syndicats et élus dénoncent la perte de plusieurs postes en milieu rural et jugent que ces écoles sont déshabillées pour permettre la mise en œuvre du dédoublement des CP et CE1 en éducation prioritaire, la mesure phare de l’exécutif. Le ministre de l’éducation nationale dément ce constat.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LesLes uns accusent le ministre d’être de mauvaise foi. Lui fustige « la démagogie » des élus ruraux, qui l’ont interpellé à plusieurs reprises à l’Assemblée nationale. Ces derniers, appuyés par les syndicats, ont pointé la situation délicate des écoles rurales, qui subiraient des fermetures de poste à la rentrée prochaine. La presse locale répercute grand nombre de mobilisations.