Les uns accusent le ministre d’être de mauvaise foi. Lui fustige « la démagogie » des élus ruraux, qui l’ont interpellé à plusieurs reprises à l’Assemblée nationale. Ces derniers, appuyés par les syndicats, ont pointé la situation délicate des écoles rurales, qui subiraient des fermetures de poste à la rentrée prochaine. La presse locale répercute grand nombre de mobilisations.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous