Violences sexuelles : les syndicats aussi Enquête

La CGT tâtonne encore sur les violences sexuelles et sexistes

La CGT, comme d’autres organisations syndicales, tergiverse sur les sanctions à appliquer en cas de violences sexistes et sexuelles. Priscille Cortet, secrétaire générale d’une grosse organisation syndicale pour les cadres et ingénieurs, militante reconnue pour les droits des femmes, en a fait les frais.

Mathilde Goanec

Cette fois-ci, c’est une dirigeante de la CGT qui a été visée. Quelques mois après la parution d’une enquête de Mediapart sur les violences sexistes dans le syndicat CGT de la Ville de Paris, une autre affaire a ébranlé l’organisation, qui s’assume pourtant publiquement comme « féministe ». L’auteur des faits, un syndicaliste breton, a perdu tous ses mandats nationaux, mais reste délégué du personnel et élu CHSCT de son syndicat.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter