Mort d'Ali Ziri : l'avocat général demande un supplément d'enquête
Ali Ziri, 69 ans, est décédé, asphyxié, le 11 juin 2009, deux jours après son interpellation par la police à Argenteuil. Le parquet général de Rennes a demandé jeudi 19 novembre à relancer l’information judiciaire qui s’était conclue par un non-lieu.
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Connaîtra-t-on enfin un jour la vérité sur la mort d’Ali Ziri, un chibani de 69 ans, décédé par suffocation, le 11 juin 2009, deux jours après son interpellation par la police à Argenteuil ? L’affaire s’était d’abord conclue par un non-lieu prononcé le 15 octobre 2012 par un juge d’instruction qui, pas plus que ses prédécesseurs, n’avait pris la peine d’entendre lui-même les policiers interpellateurs. Mais début 2014, la Cour de cassation avait estimé que les juges auraient dû « rechercher si les contraintes exercées » sur le retraité algérien « n'avaient pas été excessives au regard du comportement de l'intéressé » et « si l'assistance fournie (par les policiers, ndlr) avait été appropriée ». Elle avait dépaysé l’affaire devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes. Laquelle doit désormais décider de l’annulation ou non de ce non-lieu.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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