Alain Juppé dans «Mission impossible»

Arrivé très loin derrière François Fillon, le maire de Bordeaux a bien peu de chances de rattraper un tel retard d'ici à dimanche prochain.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

En un sens, Nicolas Sarkozy avait vu juste. Les sondages se sont trompés. Eux qui donnaient l’ex-chef de l’État au second tour de la primaire de la droite et du centre n’ont perçu que très tard la percée de François Fillon. Dimanche soir, l’ancien premier ministre est finalement arrivé en tête avec 44,1 % des suffrages exprimés, devant Alain Juppé qui a rassemblé 28,6 % des quelque 3,9 millions de voix exprimées. Les premières remontées des urnes ont très vite donné une idée de l’issue du scrutin. Du côté des sarkozystes, personne ne cachait sa déception. Les mines étaient presque aussi contrites dans le camp du maire de Bordeaux, donné grand favori depuis le début de la campagne.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal