Condamnation papale, mauvais sondages, austérité sociale et scandale Bettencourt, rejet persistant du président de la République... La droite UMP affronte une question qui ne cesse de grandir dans ses rangs: faut-il, et comment, se débarrasser de Nicolas Sarkozy?
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IlIl faut donc passer par l'étranger pour prendre la mesure de la radicalisation ultra-droitière impulsée par Nicolas Sarkozy depuis un mois. Après les Nations unies, après la commission européenne, c'était au tour du pape, ce week-end, de critiquer à mots découverts les expulsions de Roms (lire ici), tandis qu'une partie de l'Eglise catholique de France faisait connaître sous des formes variées (un prêtre allant même jusqu'à souhaiter «une crise cardiaque» au président!, à lire iciouencore ici) son inquiétude et son rejet de l'emballement extrémiste de l'Elysée.