Suicide de Dinah, 14 ans : l’enquête révèle des souffrances répétées et des alertes minorées

Après le suicide de la jeune fille en octobre 2021 et six mois d’enquête, la procureure de Mulhouse a classé l’affaire, estimant que le harcèlement scolaire n’était pas constitué. En colère, la famille s’appuie sur de nombreux éléments du dossiers, consultés par Mediapart, pour contester ces conclusions. 

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« Je n’ai pas supporté cette conférence de presse de la procureure », lâche Samira Gonthier, mère de Dinah, depuis le service psychiatrique d’un hôpital. « J’ai demandé à être hospitalisée vendredi pour avoir un véritable suivi et tenter de me reposer un peu », explique-t-elle. Un an après la mort de sa fille de 14 ans qui s’était pendue dans sa chambre le 5 octobre 2021, sa douleur reste aussi vive que sa colère. La décision de la procureure de Mulhouse de classer sans suite l’enquête est un « véritable choc »

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