«C’est une marche historique ! » Sur le petit camion qui balade la sono, l’une des organisatrices du collectif #NousToutes s’époumone dans le mégaphone. « Je n’arrive pas à voir l’horizon ! », enchaîne sa collègue. Avant de reprendre les slogans : « So-, so-, so-, solidarité, avec les femmes du monde entier ! ». Il est 16 heures ce samedi 23 novembre, à Paris, et la marche contre les violences sexuelles et sexistes entame sa troisième heure, à l’approche de la place de la République, à Paris, dans une ambiance joyeuse. « On me dit que la queue de cortège n’est pas encore partie à Opéra », se réjouit la militante féministe Caroline De Haas, un talkie-walkie à la main.
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