Les inégalités femmes-hommes se réduisent. Mais pas partout, ni pour toujours. En moins de cent pages et de très nombreuses données cartographiées, l’Institut d’études démographiques (Ined) se penche dans son Atlas mondial des femmes sur les « paradoxes de l’émancipation ».
Les inégalités femmes-hommes se réduisent. Mais pas partout, ni pour toujours. En moins de cent pages et de très nombreuses données cartographiées, l’Institut d’études démographiques (Ined) s’intéresse dans son Atlas mondial des femmes aux « paradoxes de l’émancipation ». En 35 chapitres synthétiques, il est question du droit à l’avortement, des violences sexuelles ou des fémicides (205 décès en moyenne par an au sein du couple en France). Mais aussi de la sexualité, de l’homosexualité ou du mariage, de la sous-représentation des femmes dans l’entreprise, en politique ou dans les médias, d’accès à l’emploi, de migrations (« les migrants sont aussi des femmes »). Ou d’accès à la propriété : dans les pays les moins riches, les femmes ne possèdent que 15 % des titres de propriété foncière. Leur droit à hériter reste limité. Et dans les pays les plus riches, elles sont également moins souvent propriétaires.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.