Dimanche 15 mars, quand ils ont franchi le seuil du bureau de vote, ils ont hésité. Et puis, ils ont gardé leur masque au fond de la poche. « On en avait chacun un, mais on ne l’a pas sorti. On ne voulait pas semer la panique. Et surtout, on n’en avait pas pour tout le monde, ça aurait été indécent de le mettre. Mais aujourd’hui, on regrette tellement… »
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