Violences sexistes et sexuelles

Violences sexistes : en appel, Thomas Guénolé perd encore contre Danielle Simonnet

L’essayiste médiatique avait porté plainte en diffamation non publique contre l’élue parisienne après qu’elle eut rédigé un rapport interne à La France insoumise relatant une accusation de violences sexistes. Une procédure qui faisait craindre pour l’avenir des cellules dédiées dans les partis politiques.

Lénaïg Bredoux

Pour la deuxième fois, la justice a relaxé l’élue parisienne Danielle Simonnet, poursuivie par son ancien camarade Thomas Guénolé pour diffamation non publique. La cour d’appel de Paris l’a relaxée mercredi 23 mars, confirmant une décision du tribunal de police de Paris datant de novembre 2020.

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