Ni une rupture ni une révolution. Mais la loi asile et immigration, votée en première lecture le 22 avril à l’Assemblée nationale, aura réussi un sacré tour de force : donner l’image d’un rassemblement de l’ensemble des forces de la gauche autour de valeurs communes et partagées. Une gageure tant la défiance entre les socialistes et les Insoumis, en particulier, est grande depuis le début de la législature.
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