En famille, entre amis ou entre collègues, c’était l’une des questions récurrentes du confinement : « Est-ce qu’on a le droit ? » Le droit d’aller faire ses courses à vélo, de déménager, de courir en couple, de s’asseoir sur un banc pendant l’heure de promenade autorisée, de cocher plusieurs cases sur l’attestation, d’aller au supermarché avec ses enfants ? Pendant cette période, distinguer ce qui était autorisé, interdit ou simplement déconseillé prenait du temps et de l’énergie au quotidien.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous