Un spectre hétéroclite de la classe politique française, qui va des Insoumis au Rassemblement national, en passant par la Macronie et Les Républicains, s’est inquiété ces dernières semaines de l’emprise de la justice sur la vie publique. Au lieu de s'interroger sur l'état de la corruption dans notre pays…
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
QuandQuand le réel montre les “affaires”, la démagogie regarde le “gouvernement des juges”. À la suite des développements judiciaires observés ces dernières semaines dans plusieurs affaires politico-financières – mise en examen de Richard Ferrand et Jean-Marie Le Pen, procès de Jean-Luc Mélenchon et Jean-Jacques Urvoas, demande de procès contre Édouard Balladur et François Léotard, auditions de François Bayrou et Sylvie Goulard –, un spectre hétéroclite de la classe politique française, qui va des Insoumis au Rassemblement national, en passant par la Macronie et Les Républicains, s’est inquiété de l’emprise de la justice sur la vie publique, leur vie publique.