France

Paniers repas, «centres de desserrement»...: branle-bas de combat tardif pour les précaires

À l’heure du confinement, les plus démunis (sans-abri, migrants, etc.) ont d’abord vu les bénévoles se détourner. Puis revenir. Si l’État et des associations ont tardé à réagir, des réquisitions d’hôtels sont désormais ordonnées, des « centres de desserrement » ouverts... Enquête sur une mobilisation de l’ombre.

Nejma Brahim

26 mars 2020 à 12h10

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Dehors, les sans-abri errent et alpaguent les habitants à leur fenêtre pour avoir une pièce, les bénéficiaires de l’aide alimentaire trouvent porte close. Depuis près de dix jours, les populations précaires ont perdu tous leurs repères face au Covid-19, subissant de plein fouet les conséquences d’un confinement qui ne les met pas sur un même pied d’égalité.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA