« L’incident est clos. » C’est en ces termes que Thierry Solère, le président du comité d’organisation de la primaire de la droite et du centre, a conclu, mardi 25 octobre, la semaine de polémique née des déclarations de Jean-Frédéric Poisson sur la « soumission [de la candidate à la présidence américaine Hillary Clinton] aux lobbies sionistes ». Ce mercredi, la Haute Autorité de la primaire (HAP), saisie le 21 octobre par Nathalie Kosciusko-Morizet, a estimé qu’il n’y avait pas lieu « de se prononcer au fond ». Le président du Parti chrétien-démocrate (PCD) est donc maintenu dans la course et ce, malgré ses relations pour le moins ambiguës avec de nombreuses personnalités issues de l’extrême droite.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous