Dossier: les Français sous surveillance Enquête

Antiterrorisme et « grandes oreilles » : le contrôle des écoutes est un casse-tête

Depuis les attentats de Paris, la commission qui contrôle les écoutes réclamées par les services de renseignement se retrouve sous le feu des critiques. Mediapart a enquêté sur ses moyens et son modus operandi. Aujourd'hui, un large pan de l'activité des services lui échappe. 

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Mis en échec par les attentats de Paris, certains cadres du renseignement ont vite désigné leur bouc émissaire : la commission chargée d'autoriser les écoutes. À les en croire, si les téléphones des frères Kouachi n'étaient pas surveillés à la veille des attaques, c'est parce qu'en France, cette discrète Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS) bride les services secrets, avec ses quotas de “branchements”, son carcan légal hérité de l'ère du fax et sa jurisprudence pinailleuse.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal