Opération intox : une société française au service des dictateurs et du CAC 40

Par , , Tomas Madlenak et Lukas Diko (ICJK)

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Pendant six ans, Julien* a travaillé dans la plus grande confidentialité. Il n’a jamais vu ses supérieurs, tous anonymes. Lui-même se cachait derrière une dizaine de pseudonymes pour ne pas être identifié. Mais le jeu en valait la peine, dit-il : il y avait pas mal d’argent facile à se faire, et rapidement. Julien n’était ni un narcotrafiquant ni un vendeur d’armes.