Censure de collages féministes dans une librairie : une « atteinte à la liberté d’expression » selon la justice
Le tribunal administratif de Nice a condamné lundi l’État pour « atteinte à la liberté d’expression » pour la censure par les forces de l’ordre, en décembre, lors d’une visite de Gérald Darmanin, de messages féministes en vitrine de la librairie Les Parleuses.
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« Une« Une décision illégale d’atteinte à la liberté d’expression de nature à engager la responsabilité de l’État. » C’est ainsi que la justice a qualifié, dans une décision rendue lundi 26 juin, la censure par les forces de l’ordre de messages féministes et du livre d’Hélène Devynck en vitrine d’une librairie, lors de la visite de Gérald Darmanin à Nice, en décembre dernier.