L’enquête a été ouverte après le dépôt d’une plainte pour « viol ». Mais au-delà de la question du consentement que devra examiner la justice, l’affaire qui vise aujourd’hui le ministre de l’action et des comptes publics revêt également une dimension qui ne relève pas du droit stricto sensu. Et qui pose une question plus large, éthique notamment : Gérald Darmanin a-t-il utilisé en 2009 sa position de pouvoir pour obtenir des faveurs sexuelles, en proposant une intervention politique dans un dossier judiciaire ? L’histoire oppose deux personnes qui n’étaient, de fait, pas sur un pied d’égalité.
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