Médias Enquête

Au « Canard enchaîné », le traitement des précaires continue de déchaîner la colère

Accusé d’avoir rémunéré pendant des années un emploi fictif, l’hebdomadaire est par ailleurs mis en cause pour sa manière de traiter ses pigistes. Au moins trois d’entre eux attaquent le journal devant les prud’hommes et plusieurs de ses salariés dénoncent une gestion « minable ». 

David Perrotin

« Être pigiste au Canard, c’est rester invisible en subissant l’opacité et l’arbitraire. » Depuis plus de deux ans, le journal satirique fait face à un grand déballage qui divise la rédaction, ses journalistes et ses pigistes, ces collaborateurs et collaboratrices précaires payé·es à l’article. 

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter