La présidente de la 32e chambre du TGI paraît s’être lassée des dénégations, des réfutations des représentants d’UBS, tentant de présenter la banque suisse comme exemplaire. Tout au long de l’audience, elle n’a cessé de placer le vice-président de la gestion de fortune du groupe suisse face à ses contradictions. La ligne de défense d’une banque au-dessus de tout soupçon semble s’étioler.
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« Mais« Mais enfin ce n’est pas des élucubrations ! Les clients d’UBS qui sont passés par la cellule du fisc pour régulariser leur situation ont bien existé », s’énerva soudain Christine Mée, la présidente de la 32e chambre du TGI, rappelant les 3 983 clients d’UBS qui avaient régularisé leur situation auprès du fisc français pour un total de 3,7 milliards d’euros.