C’est plus qu’un euphémisme de dire que la décision de Donald Trump de retirer son pays de l’accord de Paris sur le climat a soulevé un tonnerre d’indignations et de condamnations aux quatre coins de la planète. Hormis la poignée habituelle de climato-sceptiques et de conservateurs pro-industrie minière, dont beaucoup sont américains, personne n’est sorti du bois pour défendre le choix du président des États-Unis et de son entourage ultranationaliste. Pas même la Russie, dont l’économie chancelante repose en grande partie sur les hydrocarbures.
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