Ce devait être l’acte fondateur d’une « nouvelle Algérie », d’« une nouvelle République », la clé de sortie de la crise politique qui viendrait mettre un terme au « Hirak », la contestation populaire contre le régime qui dure depuis février 2019. C’est un fiasco et un désaveu cinglants pour le pouvoir. Le référendum sur la révision de la Constitution a été sans surprise massivement boycotté par les électeurs algériens dimanche 1er novembre.
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